Habitant sur les rives de Chiemsee en Bavière, Monsieur Schön a commencé à naviguer en mer un an après avoir créé sa première clinique. Lors d’un stage de voile l’année des Jeux Olympiques de Münich en 1972, son épouse et lui se sont promis qu’ils s’offriraient un jour le plus beau des voiliers, avant d’effectuer leur premier et modeste achat de bateau en 1973. Le cap du troisième millénaire a vu apparaître une nouvelle ère de super yachts, fascinante. Design et technologie, confort et fiabilité, manœuvrabilité poussée et esthétisme puissant, comment résister ? L’offre est alors pléthorique, il s’agit de ne pas se tromper. L’entrepreneur allemand et son épouse s’étaient fixés un objectif ambitieux : trouver un voilier très performant en haute mer, au design novateur, que la famille adopterait pour naviguer autour du monde. Les yachts de CNB faisaient partie de sa présélection, leur qualité l’avait convaincu. Une autre qualité lui a alors particulièrement plu : celle du rapport humain. Aujourd’hui encore, il souligne le rôle déterminant joué par l’enthousiasme des équipes de CNB pour son projet : « Le fait qu’Olivier Lafourcade se soit montré si enthousiaste nous a séduits ma femme et moi. » Naturellement, la confiance se mérite et Monsieur Schön se souvient s’être montré vigilant à propos du travail d’équipe indispensable entre le propriétaire, le chef de projet, l’architecte naval, le designer d’intérieur et le chantier. Au bout du compte, il définit tout le processus de coordination comme professionnel, dynamique et chaleureux.
10 000 milles par an
Deux ans et 20 000 milles plus tard, l’enthousiasme n’a pas faibli, bien au contraire. Ses invités, parfois au nombre de cinq, ne tarissent pas d’éloges sur Chrisco, lui avouant même avoir passé les plus belles vacances de leur vie. Son équipage est fier de travailler à bord et de pouvoir naviguer, Monsieur Schön s’amuse toujours autant avec les boutons de commande à la barre à roue. S’il devait changer une chose ? Installer dès le départ tout le système audio d’Apple. Son plus beau souvenir reste la sortie du port de New York sous le regard bienveillant de la Statue de la Liberté, mais c’était avant de pointer son étrave cet été vers la mer Baltique, Helsinki, Stockholm et Saint-Pétersbourg. Et comme Monsieur Schön est quelqu’un de prévoyant qui aime par ailleurs varier les plaisirs, l’équipage du CNB 100 sait déjà que la mer Egée puis l’Amérique du Sud les attendent en 2012.
Living on the banks of Chiemsee in Bavaria, Mister Schön began ocean sailing a year after creating his first clinic. During a sailing training course the year the Olympic Games were held in Munich in 1972, he and his wife promised themselves that one day they would treat themselves to the most beautiful yacht. In the meantime they made their first, modest purchase in 1973. The dawning of the third millennium saw the rise of a new, fascinating era of super yachts. Design and technology, comfort and reliability, advanced manoeuvrability and powerful aesthetics, how could one resist? As the offer is now plethoric, one has to make sure to make the right decision. The German entrepreneur and his wife set themselves an ambitious objective: to find a yacht which excels on the open sea, with an innovative design, which the family could use to sail around the world. CNB’s yachts made it onto their shortlist, and it was their quality which swayed the vote. Another quality which particularly appealed to them at that point was the personal relationship. Indeed even today, he underlines the decisive role played by the enthusiasm which the CNB teams displayed for his project: “The fact that Olivier Lafourcade appeared to be so enthusiastic appealed to my wife and I”. Naturally, trust has to be earned and Mister Schön recalls that he kept a close eye on the teamwork aspect, which is essential between the owner, the project manager, the naval architect, the interior designer and the yard. All things considered, he described the entire coordination process as professional, dynamic and warm.
10,000 nautical miles a year
Two years and 20,000 miles later, the enthu-siasm hasn’t wavered, quite the contrary in fact. His guests, at times totalling five, cannot stop praising Chrisco, even admitting that they spent the most fantastic holidays of their lives. Her crew is proud to work and sail her, while Mister Schön still gets just as much fun out of the controls at the helm. And if he had to change just one thing? He’d install the entire Apple audio system from the outset. His finest memory remains leaving the port of New York under the benevolent eye of the Statue of Liberty. How-ever, that’s before he sets a course this summer for the Baltic Sea, Helsinki, Stockholm and Saint Petersburg. And as Mister Schön is foresighted and likes a bit of variety, Chrisco’s crew already know that the Aegean Sea and then South America await them in 2012.