Le podium du quatrième sprint vers Charleston se jouera sur la tactique
Ce qui attend les skippers de la VELUX 5 OCEANS dans ce quatrième et avant-dernier sprint du tour du monde…
C’est l’étape tactique de ce tour du monde : 5700 milles entre Punta del Este en Uruguay et Charleston aux États-Unis. Dès leur départ le 27 mars, les concurrents de la VELUX 5 OCEANS seront confrontés aux caprices de l’anticyclone de Sainte Hélène, qui s’étale dans l’Atlantique Sud de manière irrégulière et difficilement prévisible.
Les marins les plus habiles pour négocier les différents systèmes météo seront vite récompensés à mesure qu’ils progressent vers le Nord. Les autres risquent au contraire de perdre des milles difficilement rattrapables dès les premiers jours de course.
Une fois à distance des calmes de Sainte Hélène, les marins toucheront les alizés de sud-est et navigueront dans des conditions idéales. Mais cela ne durera pas. Il faudra ensuite se frayer un chemin à travers la zone de convergence intertropicale, mieux connue sous le nom de Pot au Noir, située de part et d’autre de l’équateur et caractérisée par un temps très instable où se succèdent les calmes et les grains.
De retour dans l’hémisphère nord, la flotte gagnera les alizés de nord-est pour rejoindre Charleston. Plus elle naviguera à proximité des côtes américaines, plus elle devra négocier les courants qui balayent les fonds marins dans cette région.
Contrairement aux deux étapes précédentes qui se sont courues principalement au portant sur les vagues des Mers du Sud, les Eco 60 devront cette fois progresser au près sur une mer relativement plate. Les skippers étudieront au mieux les prévisions météo qui leur permettront de prendre les bonnes décisions tactiques et de faire la différence au classement. Un défi d’un autre genre, mais pas moins difficile que sur les précédentes étapes. Le premier bateau devrait rejoindre Charleston en 26 jours environ.
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AVANT-DERNIERE ETAPE DE LA VELUX 5 OCEANS : DEPART DANS MOINS D’UNE SEMAINE
Photo Ainhoa Sanchez/ VELUX 5 OCEANS
Le podium du quatrième sprint vers Charleston se jouera sur la tactique
Ce qui attend les skippers de la VELUX 5 OCEANS dans ce quatrième et avant-dernier sprint du tour du monde…
C’est l’étape tactique de ce tour du monde : 5700 milles entre Punta del Este en Uruguay et Charleston aux États-Unis. Dès leur départ le 27 mars, les concurrents de la VELUX 5 OCEANS seront confrontés aux caprices de l’anticyclone de Sainte Hélène, qui s’étale dans l’Atlantique Sud de manière irrégulière et difficilement prévisible.
Les marins les plus habiles pour négocier les différents systèmes météo seront vite récompensés à mesure qu’ils progressent vers le Nord. Les autres risquent au contraire de perdre des milles difficilement rattrapables dès les premiers jours de course.
Une fois à distance des calmes de Sainte Hélène, les marins toucheront les alizés de sud-est et navigueront dans des conditions idéales. Mais cela ne durera pas. Il faudra ensuite se frayer un chemin à travers la zone de convergence intertropicale, mieux connue sous le nom de Pot au Noir, située de part et d’autre de l’équateur et caractérisée par un temps très instable où se succèdent les calmes et les grains.
De retour dans l’hémisphère nord, la flotte gagnera les alizés de nord-est pour rejoindre Charleston. Plus elle naviguera à proximité des côtes américaines, plus elle devra négocier les courants qui balayent les fonds marins dans cette région.
Contrairement aux deux étapes précédentes qui se sont courues principalement au portant sur les vagues des Mers du Sud, les Eco 60 devront cette fois progresser au près sur une mer relativement plate. Les skippers étudieront au mieux les prévisions météo qui leur permettront de prendre les bonnes décisions tactiques et de faire la différence au classement. Un défi d’un autre genre, mais pas moins difficile que sur les précédentes étapes. Le premier bateau devrait rejoindre Charleston en 26 jours environ.