Avec son programme « Fractional », Dream Yacht Charter Worldwide, veut concilier les avantages de la gestion-location et de la copropriété… sans les inconvénients.
En proposant cinq à huit semaines de navigation par an dans ses programmes de gestion-location, le leader mondial du secteur se heurte parfois au réalisme de ses clients : impératifs professionnels, temps de vacances limité, une envie de naviguer 100 % du temps libre qui ne fait pas forcément l’unanimité au sein de la cellule familiale ou amicale. D’un autre côté, on sait que la copropriété d’un bateau est rarement un long fleuve tranquille, les sources de discorde pouvant être nombreuses et à tendance exponentielle suivant le nombre de partenaires.
Sauf que quand on parle d’un bateau neuf, géré et entretenu par un professionnel, dont tous les coûts sont couverts par la location, de l’assurance à l’entretien en passant par la place de port, on se dit qu’il y a là peut-être une excellente idée. Car elle garde bien sûr le premier avantage d’un achat à plusieurs, à savoir un investissement de départ moindre. Avec les programmes Dream Fractional Business et Dream Fractional Liberty, les bateaux sont vendus en parts équitables, chaque copropriétaire se voyant attribuer un temps de navigation au prorata de son investissement.
Nul besoin de se connaître ni de naviguer ensemble, il n’est même pas question de se contenter du bateau dans lequel on a pris une ou des parts puisque, par équivalence, on peut naviguer dans chacune des plus de 50 destinations proposées par le loueur. Que l’on préfère percevoir sa part des revenus locatifs (Business) ou naviguer plus (Liberty), les charges sont dans tous les cas partagées avec les autres copropriétaires, le tout étant managé par la société de location, qui inclue dans son offre un service de conciergerie. Une solution idéale lorsque l’on débarque au bout du monde et que l’on ne veut pas commencer ses vacances par des complications logistiques vite épuisantes.
Un bateau neuf, monocoque ou catamaran, issu de chantiers réputés, dont l’entretien et le suivi sont gérés par un tiers de confiance, un investissement qui correspond à ses moyens et une durée d’usage au temps que l’on a de disponible, il se pourrait bien que Loïc Bonnet et son équipe aient encore inventé une nouvelle formule à succès. D’autant qu’avec l’inflation qui ne manque pas de frapper les tarifs de l’industrie nautique, les solutions innovantes à « coût partiel » devraient trouver un bel écho.